Lecture du jour du programme "Viens et suis-moi" de l'Eglise de Jésus-Christ des Saints des derniers jours comprenant quelques versets choisis dans les Ecritures officielles (LdM, Bible, D&A) Pour les textes dans d'autres langues utilisez la traduction, vous avez les audios en français désormais pour les présentations des semaines, pour les aveugles et les illettrés.
13 La crainte de l’Éternel, c’est la haine du mal ; L’arrogance et l’orgueil, la voie du mal, Et la bouche perverse, voilà ce que je hais.
Ecclésiaste 12
13 Les paroles des sages sont comme des aiguillons ; et, rassemblées en un recueil, elles sont comme des clous plantés, données par un seul maître.
14 Du reste, mon fils, tire instruction de ces choses ; on n’en finirait pas si l’on voulait faire un grand nombre de livres, et beaucoup d’étude est une fatigue pour le corps.
15 Écoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme.
16 Car Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal.
« La crainte de l’Éternel est le commencement de la sagesse »
Dans le premier chapitre du livre des Proverbes, nous trouvons ces paroles : « Écoute, mon fils, l’instruction de ton père, et ne rejette pas l’enseignement de ta mère » (Proverbes 1:8). Proverbes peut être vu comme une collection de dictons sages donnés par un parent aimant et dont le message principal est que les personnes qui recherchent la sagesse reçoivent des bénédictions de paix et de prospérité, particulièrement le genre de sagesse que Dieu offre. Mais le livre des Proverbes est suivi par celui de l’Ecclésiaste, qui semble dire que « ce n’est pas si simple ». Le prédicateur cité dans Ecclésiaste a observé qu’il a « appliqué son cœur à connaître la sagesse » mais a quand même trouvé que c’était comme « la poursuite du vent » et a eu « beaucoup de chagrin » (Ecclésiaste 1:17-18). De bien des façons, le livre pose la question suivante : « Existe-t-il une réelle signification à un monde où tout semble vain, temporaire et incertain ? »
Pourtant, bien que les deux livres observent la vie sous un angle différent, ils enseignent des vérités similaires. L’Ecclésiaste déclare : « Écoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme » (Ecclésiaste 12:13). C’est le même principe que l’on retrouve dans les Proverbes : « Confie-toi en l’Éternel de tout ton cœur. … Ne sois point sage à tes propres yeux, crains l’Éternel » (Proverbes 3:5,7). Quoi que nous réserve la vie, même lorsqu’elle semble déroutante et aléatoire, il est toujours mieux de faire confiance au Seigneur Jésus-Christ.
Si nous exerçons notre foi au Sauveur, il nous élèvera et nous fera traverser toutes nos épreuves et, finalement, nous sauvera dans le royaume céleste.
Le nom juif traditionnel pour désigner le livre des Psaumes est un mot hébreu qui signifie « louanges ». Ce mot, Tehillim, a aussi un lien avec l’exclamation « alléluia » (qui signifie « louez Jéhovah », ou « louez le Seigneur »). Si l’on devait choisir un mot pour résumer le message principal des Psaumes, « louange » serait un bon choix. Certains des psaumes contiennent l’invitation directe « Louez l’Éternel ! » (voir en particulier Psaumes 146 à 150) et ils peuvent tous inspirer un sentiment d’adoration et de louange. Les Psaumes nous incitent à réfléchir au pouvoir du Seigneur, à sa miséricorde et aux choses merveilleuses qu’il a faites. Nous ne pourrons jamais le payer en retour pour tout ce qu’il a fait, mais il nous est possible de le louer. Ces louanges prendront différentes formes pour différentes personnes ; elles peuvent être exprimées par le chant, la prière ou en rendant témoignage. Elles conduisent souvent à un engagement plus profond envers le Seigneur et à suivre ses enseignements. Quelle que soit la signification de l’expression « louez l’Éternel ! » dans votre vie, vous trouverez davantage d’inspiration à le faire en lisant les Psaumes et en les méditant.
Ce verset pourrait susciter une discussion sur les événements du rétablissement de l’Évangile : comment le Livre de Mormon a « germé de la terre » et des messagers célestes sont venus « du haut des cieux » (voir aussi Moïse 7:62).
Ce verset pourrait susciter une discussion sur les événements du rétablissement de l’Évangile : comment le Livre de Mormon a « germé de la terre » et des messagers célestes sont venus « du haut des cieux » (voir aussi Moïse 7 : 62).
62 Je ferai descendre la justice des cieux, et je ferai monter la vérité de la terre, pour rendre témoignage de mon Fils unique, de sa résurrection d’entre les morts, oui, et aussi de la résurrection de tous les hommes, et je ferai en sorte que la justice et la vérité balaient la terre comme un flot, pour rassembler mes élus des quatre coins de la terre, vers un lieu que je préparerai, une Ville Sainte, afin que mon peuple puisse se ceindre les reins et attendre le temps de ma venue ; car là sera mon tabernacle, et elle sera appelée Sion, une nouvelle Jérusalem.
Mon témoignage de Jésus-Christ peut aider d’autres personnes à venir à lui.
15 Ma bouche publiera ta justice, ton salut, chaque jour, Car j’ignore quelles en sont les bornes.
16 Je dirai tes œuvres puissantes, Seigneur Éternel ! Je rappellerai ta justice, la tienne seule.
17 Ô Dieu ! tu m’as instruit dès ma jeunesse, Et jusqu’à présent j’annonce tes merveilles.
18 Ne m’abandonne pas, ô Dieu ! même dans la blanche vieillesse, Afin que j’annonce ta force à la génération présente, Ta puissance à la génération future !
19 Ta justice, ô Dieu ! s’élève jusqu’au ciel ; Tu as accompli de grandes choses : ô Dieu ! qui est semblable à toi ?
20 Tu nous as fait éprouver bien des détresses et des malheurs ; Mais tu nous redonneras la vie, Tu nous feras remonter des abîmes de la terre.
21 Relève ma grandeur, Console-moi de nouveau !
22 Et je te louerai au son du luth, je chanterai ta fidélité, mon Dieu, Je te célébrerai avec la harpe, Saint d’Israël !
23 En te célébrant, j’aurai la joie sur les lèvres, La joie dans mon âme que tu as rachetée ;
24 Ma langue chaque jour publiera ta justice, Car ceux qui cherchent ma perte sont honteux et confus.
La rédemption n’est possible que par Jésus-Christ.
6 Oui, mon âme, confie-toi en Dieu ! Car de lui vient mon espérance.
7 Oui, c’est lui qui est mon rocher et mon salut ; Mon rempart : je ne chancellerai pas.
8 Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire ; Le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu.
9 En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, Épanchez vos cœurs en sa présence ! Dieu est notre refuge, —
10 Oui, vanité, les fils de l’homme ! Mensonge, les fils de l’homme ! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu’un souffle.
11 Ne vous confiez pas dans la violence, Et ne mettez pas un vain espoir dans les biens mal acquis ; Quand les richesses s’accroissent, N’y attachez pas votre cœur.
12 Dieu a parlé une fois ; Deux fois j’ai entendu ceci : C’est que la force est à Dieu.
13 À toi aussi, Seigneur ! la bonté ; Car tu rends à chacun selon ses œuvres.
Les auteurs des Psaumes ont exprimé des sentiments profondément personnels dans leur poésie. Ils ont parlé du découragement, de la peur et du remords. Ils semblent même parfois s’être sentis abandonnés par Dieu, et certains psaumes ont un ton de frustration ou de désespoir. S’il vous est arrivé d’avoir des sentiments de ce genre, la lecture des Psaumes vous aidera à savoir que vous n’êtes pas le seul. Mais vous trouverez aussi des psaumes qui vous encourageront quand vous avez des sentiments de ce genre, parce que les psalmistes ont aussi loué le Seigneur pour sa bonté, se sont émerveillés de son pouvoir et se sont réjouis de sa miséricorde. Le monde est accablé par le mal et le péché, ils le savaient, mais ils savaient également que le Seigneur est bon et qu’il pardonne (voir Psaumes 86:5). Ils comprenaient qu’avoir foi au Seigneur ne veut pas dire que l’on ne sera jamais aux prises avec l’anxiété, le péché ou la peur. Cela veut dire que l’on sait vers qui se tourner quand cela arrive.
J’ai de très bons souvenirs de mon enfance quand ma mère me lisait des histoires du Livre de Mormon. Elle avait le don de rendre vivants dans ma jeune imagination les épisodes scripturaires, et je ne doutais pas qu’elle avait le témoignage de la véracité de ce livre sacré...
Il faut être pur pour entrer en la présence du Seigneur.
1 De David. L’Éternel est ma lumière et mon salut : Qui devrais-je craindre ? L’Éternel est le soutien de ma vie : De qui aurais-je peur ?
2 Quand des méchants s’avancent contre moi, Pour dévorer ma chair, Ce sont mes persécuteurs et mes ennemis Qui chancellent et tombent.
3 Si une armée campait contre moi, Mon cœur n’aurait aucune crainte ; Si une guerre s’élevait contre moi, Je serais malgré cela plein de confiance.
4 Je demande à l’Éternel une chose que je désire ardemment : Je voudrais habiter toute ma vie dans la maison de l’Éternel, Pour contempler la magnificence de l’Éternel Et pour admirer son temple.
5 Car il me protégera dans son tabernacle au jour du malheur, Il me cachera sous l’abri de sa tente ; Il m’élèvera sur un rocher.
6 Et déjà ma tête se dresse au-dessus de mes ennemis qui m’entourent ; J’offrirai des sacrifices dans sa tente au son de la trompette ; Je chanterai, je célébrerai l’Éternel.
Les Psaumes dirigent notre esprit vers la vie et le ministère de Jésus-Christ.
7 Je publierai le décret ; L’Éternel m’a dit : Tu es mon fils ! Je t’ai engendré aujourd’hui.
8 Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, Les extrémités de la terre pour possession ;
9 Tu les briseras avec un bâton de fer, Tu les briseras comme le vase d’un potier.
10 Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse ! Juges de la terre, recevez l’instruction !
11 Servez l’Éternel avec crainte, Et réjouissez-vous avec tremblement.
12 Embrassez le fils de peur qu’il ne s’irrite, Et que vous ne périssiez dans votre voie, Car sa colère est prompte à s’enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui !
Nous ne savons pas avec certitude qui a écrit les Psaumes. Certains sont attribués au roi David, mais pour la plupart d’entre eux, les auteurs restent anonymes. Néanmoins, après avoir lu les Psaumes, on peut avoir le sentiment que l’on connaît le cœur des psalmistes, même si nous ne connaissons pas leurs noms. Ce que nous savons, en revanche, c’est que les Psaumes étaient un élément important du culte parmi les Israélites et que le Sauveur les a souvent cités. Les Psaumes nous ouvrent une fenêtre sur l’âme du peuple antique de Dieu. Nous voyons quels étaient leurs sentiments à l’égard de Dieu, ce qui les préoccupait et comment ils trouvaient la paix. Nous, les fidèles d’aujourd’hui, utilisons encore ces paroles dans notre culte de Dieu, dans le monde entier. Les auteurs des Psaumes semblent avoir eu une fenêtre ouverte sur nos âmes et avoir trouvé un moyen d’exprimer nos sentiments à l’égard de Dieu, ce qui nous préoccupe et comment nous trouvons la paix.
42 Or, il y a une mort qui est appelée mort temporelle ; et la mort du Christ détachera les liens de cette mort temporelle, de sorte que tous ressusciteront de cette mort temporelle.
43 L’esprit et le corps seront de nouveau réunis sous leur forme parfaite ; membres et jointures seront rendus à leur forme propre, comme nous sommes maintenant, en ce moment ; et nous serons amenés à nous tenir devant Dieu, connaissant comme nous connaissons maintenant, et ayant le souvenir vif de toute notre culpabilité.
44 Or, ce rétablissement se fera pour tous, jeunes et vieux, esclaves et libres, hommes et femmes, méchants et justes ; et pas même un seul cheveu de leur tête qui sera perdu ; mais chaque chose sera rendue à sa forme parfaite, comme elle est maintenant, ou dans le corps, et ils seront amenés et traduits devant la barre du Christ, le Fils, et de Dieu le Père, et de l’Esprit-Saint, qui sont un seul Dieu éternel, pour être jugés selon leurs œuvres, qu’elles soient bonnes ou qu’elles soient mauvaises.
« S’il m’éprouvait, je sortirais pur comme l’or. »
2 Néphi 2:11–13
Livre de Mormon
11 car il doit nécessairement y avoir une opposition en toutes choses. S’il n’en était pas ainsi, mon premier-né dans le désert, la justice ne pourrait pas s’accomplir, ni la méchanceté, ni la sainteté ni la misère, ni le bien ni le mal. C’est pourquoi, chaque chose doit nécessairement être un composé ; c’est pourquoi, si c’était un seul corps, cela devrait nécessairement rester comme mort, n’ayant ni vie ni mort, ni corruption ni incorruptibilité, ni bonheur ni malheur, ni sensibilité ni insensibilité.