Proverbes 1-4 ; 15-16 ; 22 ; 31 ; Ecclésiaste 1-3 ; 11-12
« La crainte de l’Éternel est le commencement de la sagesse »
Dans le premier chapitre du livre des Proverbes, nous trouvons ces paroles : « Écoute, mon fils, l’instruction de ton père, et ne rejette pas l’enseignement de ta mère » (Proverbes 1:8). Proverbes peut être vu comme une collection de dictons sages donnés par un parent aimant et dont le message principal est que les personnes qui recherchent la sagesse reçoivent des bénédictions de paix et de prospérité, particulièrement le genre de sagesse que Dieu offre. Mais le livre des Proverbes est suivi par celui de l’Ecclésiaste, qui semble dire que « ce n’est pas si simple ». Le prédicateur cité dans Ecclésiaste a observé qu’il a « appliqué son cœur à connaître la sagesse » mais a quand même trouvé que c’était comme « la poursuite du vent » et a eu « beaucoup de chagrin » (Ecclésiaste 1:17-18). De bien des façons, le livre pose la question suivante : « Existe-t-il une réelle signification à un monde où tout semble vain, temporaire et incertain ? »
Pourtant, bien que les deux livres observent la vie sous un angle différent, ils enseignent des vérités similaires. L’Ecclésiaste déclare : « Écoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe ses commandements. C’est là ce que doit faire tout homme » (Ecclésiaste 12:13). C’est le même principe que l’on retrouve dans les Proverbes : « Confie-toi en l’Éternel de tout ton cœur. … Ne sois point sage à tes propres yeux, crains l’Éternel » (Proverbes 3:5,7). Quoi que nous réserve la vie, même lorsqu’elle semble déroutante et aléatoire, il est toujours mieux de faire confiance au Seigneur Jésus-Christ.
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