« Au Berger elles sont chères » (cantiques n° 142).
1.Au Berger elles sont chères,
Les brebis de son troupeau.
Que sont les biens éphémères
Devant l’amour du Très-Haut?
Les autres brebis perdues
Sont chères au vrai Berger.
Il veille du haut des nues
Sur son troupeau éloigné.
Pauvres brebis égarées
Souffrant la faim et le froid!
Le Berger les a trouvées,
Les ramène sous son toit.
2.Le divin Berger les aime,
Les agneaux de son troupeau.
Mais malgré cet amour même
S’égare le fol agneau.
Aussi le bon Berger cherche,
Cherche cet agneau perdu;
De sa main il tend la perche,
La perche de son salut.
Pauvres brebis égarées
Souffrant la faim et le froid!
Le Berger les a trouvées,
Les ramène sous son toit.
3.Au Berger elles sont chères,
Les brebis ayant erré
Dans les prairies amères
Ou dans les champs empierrés.
Frères, sa voix nous appelle:
Tendrement il nous conduit.
Pour lui cherchons avec zèle
Les égarés d’aujourd’hui.
Pauvres brebis égarées
Souffrant la faim et le froid!
Le Berger les a trouvées,
Les ramène sous son toit.
4.Il est prêt, le pâturage:
Douces, calmes sont ses eaux.
Nous nous mettrons à l’ouvrage
Pour ramener tes agneaux.
Vers les brebis en détresse,
Dans le désert éloigné,
Partons avec allégresse,
Rassemblons les égarés.
Pauvres brebis égarées
Souffrant la faim et le froid!
Le Berger les a trouvées,
Les ramène sous son toit.
D’après le texte anglais de Mary B. Wingate, née en 1899
Musique de William J. Kirkpatrick, 1838–1921
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